l'oeil d'un aménagement

Messages : 191 Date d'inscription : 14/03/2009 Age : 34

*Ses valises et ses meubles étaient arrivé par avions le lendemain de son arrivé comme cela était prévu, placer juste devant la porte de son appartement, elles étaient nombreuse et assez lourde mais Waya espérait que tout ce qu'il avait mis dedans ne s'étaient pas déplié ou cassé pendant le voyage. l'appartement vide était spacieux plus qu'il ne l'avait imaginé, il faut dire que il était vraiment pas très bon en math et vu le prix pour autant de m², il n'avait pas hésité. L'appartement était pourvu d'une cuisine, d'une salle de bain, de toilette, 2 chambres, un grand salon et une salle a mangé plus réduite.

Waya parcouru pendant un moment chaque pièce en inspectant chaque recoins, les regardant sous certains angle, en imaginant comment ses meubles pouvaient être disposé et comment décoré les pièces de l'appartement. Il réfléchit très longuement à la façon dont il allait procédé car malgré les apparences il était très ordonné et ne supportais pas faire une erreur dans la disposition des choses.

C'est alors qu'il commença a disposé les meubles, dans le hall d'entrée il plaça un porte-manteau qu'il accrocha au mur et y disposa quelque cadre dans lequel se trouvais des photos qu'il avait exécuté durant ses années scolaire. Il disposa ensuite dans le salon la télé juste devant la grande fenêtre d'où on avait une vue imprenable en laissant assez d'espace entre afin de pouvoir admiré cela de près, les canapés furent mis en demi cercle de façon de voir la télé et le paysage sous tout les angles qui le permettaient et pour finir il disposa des armoires le long de certain mur en tachant de ne pas trop remplir la pièce et sans laissé d'espace inutile.

Arriva le tour de la chambre, dans laquelle il plaça une penderie, et une armoire, et il fixa au mur des étagères afin d'y placé diverses choses. Pour placé tout cela il avait mis 3 heures mais le plus dur venait d'être fait et il fit une pause de 15 minute pour mangé un bout et il repris après ce laps de temps. Waya alla cherché ses valises et voulu en mettre une dans chaque pièce sauf la 2e chambre. Car chaque valise contenait des objets spécifique mais étourdit comme il l'était Waya avait complètement oublié de mettre les étiquettes lui permettant de reconnaitre quelle valise. Il dû alors toutes les ouvrir pour en connaitre leur contenu et les déplacé vers les pièces adéquates ce qui lui fit perdre du temps.

Finalement après avoir disposé les valises, il commença à défaire leur contenu et a ranger soigneusement dans les armoires prévu à cette effet, il était habitué étant le petit dernier de la famille son aide pour les tâche ménagère son aide était très sollicité. Il ne lui restait plus que la chambre à faire et il aurait enfin fini l'aménagement de son appartement, il se dirigea vers celle-ci en oubliant complètement de fermé la porte d'entrée.*

Gabrielle Voorhes n'était pas connue pour son sens aigü du pratique. Bien au contraire. Elle était du genre à poser ses clés là où elle ne pourrait plus les retrouver, à laver ses vêtements à l'envers, même si elle était sûre qu'une fois sur deux, elle ne les remettrait pas à l'endroit, à ne porter que des chaussures à talons, même lorsqu'elle partait en vacances ou encore à se brosser les dents n'importe où, quitte à emmener sa trousse de toilettes au cinéma. Bref, elle ne faisait rien pour s'arranger la vie.

Elle avait pourtant traîné avec des mecs durant la quasi-totalité de son adolescence. Et les mecs ne sont pas du genre à se compliquer la vie pour rien. Prenons Léon par exemple. Quand il rentrait à la maison, il jetait ses clés sur la table, il enlevait son T-shirt pour le balancer dans la corbeille à linge, il ouvrait le frigo et buvait au goulot, il ne se cassait as la tête avec des fringues chiantes à enlever et, comble du comble, il ne se gênait pas pour roter devant tout le monde et n'importe qui.

Tout ça pour expliquer pourquoi, ce jour-là, notre chère Gaby montait tous ses bagages seule et qu'elle portait une petite robe et des talons. Pas très malin vous me direz mais est-il utile de préciser qu'elle n'a que ça dans ses valises? Bien entendu, comme elle n'était pas du genre à demander de l'aide, elle n'avait pasappelé son frère pour qu'il vienne l'aider.

Alors, chargée de cinq ou six valises, elle ouvrit avec une certaine brutalité la porte d'entrée de l'immeuble. Elle habitait au 5ème étage. Rien que d'y penser, elle déprimait déjà. Elle entama les marches unes à unes - normal quand on veut monter un escalier en général. Mais pourquoi il n'y avait pas d'ascenceur dans ce putain d'immeuble?

Arrivée au cinquième, elle remarqua qu'une porte était ouverte et en conclut donc qu'elle devait habiter en face. Alors qu'elle amorçait un virage pour aller jusque chez elle, son talon dérapa et elle bascula en avant. Ses bagages s'écrasèrent avec fracas sur le sol et elle ne put s'empêcher de laisser échapper un cri de panique.

* Gagné Gaby!Bravo! T'es vraiment tebê comme rakia toi! * pensa-t-elle. * Tomber juste devant une porte grande ouverte! *

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Waya accrochait ses posters sur les murs, de sa chambre et se concertait quelques fois seul pour voir si la présentation n'était pas trop moche, Il avait pour une fois assez d'espace pour mettre un maximum de chose dans sa chambre, avant dans sa famille nombreuse il avait eu seulement droit que a une petite pièce de la maison et les 3/4 de l'espace était pris par son lit et le peut de meuble qu'il avait et son petit bureau. Ensuite il rempli ses armoires de vêtements, objets, photos et il rangea dans un coin spéciale un peu surprotéger sont matérielle pour la photo. Content de lui il fit un grand tour de son appartement en agitant les bras partout et en se disant :

j'ai fini, j ai fini, j ai fini, j'ai fini . OUIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIII

finalement après ce petit débordement d'émotions, il pris les valises qu'il avait utilisé pour apporté ses affaires et les rangea en dessous de son lit et il s'étendit dessus pour se reposer, ça faisait quand même depuis ce matin qu'il travaillait sur la présentation de son appartement,, en y repensant c'est un sacré boulot, il comprenait maintenant pourquoi sa mère s'énervait tant lorsque nous déplacions les affaires qu'elle avait rangé ou quand nous laissions trainé nos affaires. Il établit alors un petit planning mentale sur ce qu'il ferait pendant la journée de demain, il devait absolument trouvé un travaille, même si avec ses économie il aurait pu vivre un an sans devoir travaillé, Waya ne voulait pas tombé dans la facilité et se sentir inactif lui était insupportable. il s'était abonné au journal et il commencerait a feuilleté les offres d'emplois.

A force de réfléchir il finit par trouvé le sommeil, mais celui-ci ne fut pas aussi long qu'il l'aurait souhaité. En effet après une heure de sommeil il fut réveille par un bruit étrange venant de dehors et ensuite un grand cri juste après. il se leva aussitôt et il fit vite son lit avant de se dirigé doucement vers la porté d'entré de l'appartement. Lorsque il fut enfin arrivé il trouva une jeune fille étalée par terre et quelque valises à ses coté.

Euh..... Bonjour, vous avez besoin d'aide ?

BADABOUM BOUM BOUM! En gros, voilà ce que ça avait fait. Etalée par terre, c'était l'expression tout à fait correcte, Gabrielle se sentait un peu ridicule, avec ses valises à moitié ouvertes sur elle. En plus, comble de malheur, elle avait cassé son talon. Et merde! Que faire? Surtout qu'elle n'arrivait plus trop à se relever. Là, elle était dans de beaux draps. Surtout que bientôt, vu le vacarme provoqué par sa chute, son voisin de palier n'allait sûrement pas tarder à se précipiter dans le couloir.

Elle se mit à réfléchir à toute vitesse à ce qu'elle pouvait bien faire pour se dépétrer de là avant l'arrivée de quelqu'un qui pourrait se moquer d'elle. Elle tenta de bouger la main gauche mais elle était coincée par sa valise à chaussures, la droite par la valise à vêtements et ses jambes lui faisaient mal. Gabrielle poussa un juron. Elle espérait au moins qu'elle n'avait pas déchiré sa robe. Sinon, là, elle n'aurait plus qu'à se suicider.

Elle était si occupée à jurer et à s'insulter elle-même qu'elle ne se rendit même pas comte tout de suite que son "voisin" était sur le pas de sa porte. Ce ne fut que lorsqu'il lui proposa de l'aider qu'elle nota sa présence. Il était plutôt charmant, de ce qu'elle pouvait en voir de là où elle se trouvait. Décidément, elle n'avait vraiment pas de bol - parce que, bien sûr, ça ne peut pas être de sa faute. ^^

- Bonjour! lança-t-elle de dessous sa malle à vêtements numéro 2. Oui, ce ne serait pas de refus merci! La clef et le numéro de mon appartement se trouve dans mon sac à main mais... je suis coincée.

Décidément non. Gabrielle Voorhes n'était définitivement pas faite pour l'aspect pratique des choses. Alors qu'elle aurait juste pu lui demander de la décoincé, elle avait dû inventer une excuse pour rendre la chose plus compliquée qu'elle ne l'était en réalité. Quand on n'est que maladroite, ça va encore. Mais si, en plus, on devient compliquée... bref! Laissons là les traits de personnalité de notre Gaby nationale sinon on en aura pour cinq heures!

Même s'il ne pouvait pas vraiment apercevoir son visage, elle lui adressa un sourire radieux - le plus radieux possible pour quelqu'un qui se retrouve coincé sous une montagne de bagages. Bien sûr, avec la chance qu'elle avait, c'était un homme! Et elle n'avait pas de miroir pour vérifier sa coiffure, son maquillage et autres. Si Leon était là, il la disputerait sûrement d'être si négligente.

Mais son frère n'était pas là et c'était une chance. Et son "voisin" avait l'air plutôt sympathique. N'importe qui aurait pu la laisser se débrouiller seule avec sa putain de maladresseet ses valises remplies. Que pouvait-elle faire pour l'aider à la débarrasser de son fardeau? Ses jambes lui faisaient encore mal et ses bras étaient coincés.

- Ces escaliers sont vraiment dangereux, inventa-t-elle pour tenter de cacher sa maldresse. En plus, il n'y a pas d'ascenceur ici!

Mais ça c'était vrai. Il n'y avait pas d'ascenceur. Là où elle avait vraiment de la chance, en fait, c'était qu'aucun paparazzi n'ait été là pour voir sa chute. Depuis que Leon en avait torturé et tué un, ils n'approchaient plus d'elle. Leon travaillait pour Interpol et il n'avait pas à se soucier de la police ou autre. C'était lui la police vu qu'il était très bien placé. Il n'avait donc pas été puni pour son meurtre et il avait juré que, si d'autres s'approchaient d'elle, il les tuerait d'une façon plus douloureuse encore.

Leon Voorhes était quelqu'un de très protecteur envers sa soeur. Il l'aimait par-dessus tout et il ne supportait pas vraiment qu'on lui fasse le moindre mal. Inutile de préciser que certains de ses petits amis y étaient passés aussi. Il n'avait pas vraiment de crainte à avoir pour ça. Mais il devenait un peu étouffant parfois tout de même. Un peu lourd à supporter.

- Vous allez y arriver? demanda-t-elle à son "voisin".